Le peu quotidien
Jacques Lacomblez
8,00 €
Peintre, dessinateur, poète. En 1956, il adhère au mouvement international Phases, animé par Édouard Jaguer (Paris) et rencontre André Breton. Pendant plusieurs années, il participe aux manifestations surréalistes dans le cadre des activités communes de Phases et du mouvement surréaliste. L'écriture et l'expression plastique ont toujours défini de manière égale le parcours de Jacques Lacomblez. Il expose à Bruxelles, Buenos Aires, Copenhague, Anvers, Poznan, etc. Il a publié, de 1962 à 2001, plusieurs recueils de poèmes : L'Aquamanile du vent; Un pays pour la Haine des Mots ; L'Empreinte de la nuit ; Le Voyageur immobile; aux éditions Syllepse, Le Peu quotidien (2001).
Jacques Lacomblez est né à Ixelles (Bruxelles) en 1934 (famille originaire du Hainaut). Peintre, dessinateur, poète. Dès l'adolescence, il se passionne pour la musique, le romantisme allemand, le surréalisme et une certaine spiritualité orientale, entre autres. En 1956, il adhère au mouvement international "Phases", animé par Édouard Jaguer (Paris) ; il rencontre André Breton en 1958. Pendant plusieurs années, il participe aux manifestations surréalistes dans le cadre des activités communes de "Phases" et du mouvement surréaliste. Il fonde en 1958 la revue Edda (cinq numéros, 1958-1965). L'écriture et l'expression plastique ont toujours défini de manière égale le parcours de Jacques Lacomblez. Il expose à Bruxelles, Buenos Aires, Copenhague, Anvers, Poznan, etc. Ses œuvres sont présentées dans de nombreuses expositions collectives (Charleroi, Liège, Bruxelles, Milan, Tokyo, Montevideo, Lima, Buenos Aires, Paris, Stockholm, Varsovie, Copenhague, New York, Ostende, Sao Paulo, Rio de Janeiro, Mexico, Caen, Leverkusen, Utrecht, Eindhoven, Mons, Marseille, Lyon, etc.). " S'agissant de l'apport surréaliste dans la peinture belge d'après 1950, le premier nom qui s'impose à l'esprit est le sien. J.L. fait sa première exposition en 1951, à 17 ans. [...] Parallèlement à son expérience picturale, où des thèmes hallucinatoires s'expriment à travers un automatisme protéiforme, il écrit des poèmes dont le lyrisme emprunte paradoxalement les voies d'une forme retenue, dont le ton pondéré côtoie parfois l'aphorisme. " (Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, 1980).
1 livre de Jacques Lacomblez: